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Bien connaître sa légende
Les informations qui vous prendront le moins de temps pour comprendre la carte viennent directement de celle-ci ! A condition de bien connaître sa légende pour ne pas se faire piéger…
La lecture de carte est primordiale mais est la compétence la plus longue à acquérir : être un bon orienteur, cela demande une pratique, de l’expérience, pour réaliser la meilleure relation carte-terrain possible.
Même si une carte IGN nous est familière, lorsque l’on a toujours randonné sur les chemins il n’est pas évident de se retrouver hors sentier. Il n’y a pas que les chemins sur une carte !

Construire son itinéraire
Il est important de définir à l’avance où l’on va, et comment on y va. Une nouvelle fois, cette construction devient automatique avec l’expérience ; mais en débutant, il est essentiel de s’appliquer à fixer des points de passage sur notre itinéraire (points d’appui), le dernier étant suffisamment important pour trouver rapidement la balise (le point d’attaque).

Estimer ses distances
Lorsque l’on s’engage hors sentier, il est parfois très utile de connaître approximativement la distance que l’on doit parcourir, pour ne pas chercher trop tôt, ni trop loin.

L’azimut
La visée à la boussole permet d’être certain de prendre la bonne direction. Il ne doit pas être systématique : aller « tout droit » est toujours le plus court, pas souvent le plus rapide !
Un azimut bien maîtrisé, couplé à la technique du double-pas, permet de limiter les erreurs en approche de la balise.

La déviation volontaire
Autre technique nécessitant la boussole, la déviation volontaire permet de se retrouver sur une ligne (fossé, falaise, chemin) et de poursuivre son itinéraire en sachant approximativement où l’on se situe.

La relocalisation
Le but est d’éviter de perdre trop de temps après avoir fait une erreur. Il faut savoir se resituer, soit par rapport au dernier élément visité, soit parfois à un autre endroit sûr (chemin, route, champ, falaise…).

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